Je n'ai aps trop le temps et l'envie d'écrire pendant ces vacances. Je mets juste une chanson de BAAZIZ (musique de RENAUD Sechan). Baaziz est un artiste algérien que j'ai découvert cette après-midi. C'est un auteur compositeur contestataire qui chante l'algérie et s'élève contre les autorités en place là bas. Je ne peux que vous invité à aller sur sont site : http://www.baaziz.com
Et pourquoi pas à télécharger quelques titres sur Kaz....



C’est pas l’homme qui prend la merde, c’est la merde qui prend l’homme

Moi la merde elle m’a pris je me souviens j’étais p’tit 

J’ai troqué ma djellaba, mon burnous un peu zone

Contre un petit cabas et un billet pour l’hexagone

J’ai déserté les crasses qui m’disaient sois prudent

La France c’est dégueulasse, les arabes vivent dedans

 

Dès le vent soufflera je repartira

Dès que les vents tourneront, nous nous en allerons

 

C’est pas l’homme qui prend la merde, c’est la merde qui prend l’homme

Mais elle ne prend pas la femme, chez nous elle en a déjà assez

La mienne m’attend au port, avec trois gosses dans les bras

Shouf comment je m’en sors, suis moi Mohammed et tu verras

Fais lui trois enfants, histoire de l’occuper

Toute la famille sera contente et elle te foutra la paix

C’est pas l’homme qui prend la femme, chez nous c’est la femme « takel race l’homme » (c’est la femme qui prend l’homme)

Moi la mienne elle m’a pris comme on prend un taxi

Elle m’a pris pour une course qui a duré toute la vie

Elle a ruiné toute ma bourse et ma maison aussi

Ces gros dégueulasses n’ont rien compris du tout, fallait tirer la chasse et oublier le tout 

 

Dès que Le Pen décidera je repartira

Dès que Sarko le voudra nous nous en allerons

 

Ne pleure pas ma mère ton fils est un bicot

Moi la merde elle m’a pris, je me souviens j’étais p’tit

À force d’être dedans, dans la merde, je crois que je m’habitue

Je perdrais ma raison si demain je ne l’aurais plus

J’irais jusqu ‘à la chercher cette merde qui me colle

Mais pour ne pas vous le cacher j’aimerais avoir un chuia d’bol

 

Dès que Le Pen décidera je repartira.

Dès que Sarko le voudra nous nous en allerons

Dès le vent soufflera je repartira

Dès que les vents tourneront, nous nous en allerons

Wa ha den que douni

Fi frança ketlouni

Hai li kem eluila

Hohoho me luila

C’est pas moi celui là

Dai dai dai dai dai